Notre-Seigneur parle à son épouse d’un qui avait mal vécu, et qui, en la mort, avait eu une bonne volonté de s’amender, s’il vivait, et dit qu’à cause de cette bonne volonté, il ne fut pas condamné à la peine éternelle, mais aux peines horribles du purgatoire. |
Chapitre 2 |
Le Fils de Dieu parle à son épouse, disant : Celui qui est maintenant infirme,
pour lequel vous priez, a été fort lâche à mon endroit, et toute sa vie a été
contraire à la mienne. Mais maintenant, faites-lui dire que, s’il a volonté de
s’amender s’il évite la mort, je lui donnerai la gloire. Qu’on l’avertisse donc
de s’amender, d’autant que je compatis à lui avec une grande miséricorde.
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